Since 20 October 1909, the viaduct had been used to cross the Lapeyrouse-Volvic line, which was "neutralised" by the SNCF from 9 December 2007 "for safety reasons", its poor condition resulting from its lack of maintenance. As a result, the metal deck of the viaduct, which was last completely rebuilt in 1981-82, has been abandoned to its sad fate and is deteriorating more and more without its current owner (SNCF Réseau) being overly concerned. The current state of the structure, disfigured by rust, has undeniably had a negative impact on the number of tourists visiting the site and is detrimental to the attractiveness of the Pays des Combrailles. However, its heritage value and architectural interest have been officially recognised: already listed on the supplementary inventory of Historic Monuments on 28 December 1984, it has been awarded the "20th Century Heritage" label since 2012.   

If the deck of the viaduct is allowed to deteriorate for a few more years, its demolition will become unavoidable, inevitably leading to substantial expenditure for the public budget (around 10 million euros) that is much higher than the cost of its restoration (estimated at 3 million euros by Réseau Ferré de France [RFF] in 2007; probably twice that amount at present). However, in 2019, the viaduct has been allocated a budget of €500,000 following the 'super loto du Patrimoine' (Heritage Super Lottery draw); a paltry amount of financial support in view of current needs...

Depuis le 20 octobre 1909, le viaduc livrait passage à la ligne Lapeyrouse-Volvic qui a été « neutralisée » par la SNCF à compter du 9 décembre 2007 « pour raisons de sécurité », son mauvais état résultant de son manque d’entretien. De ce fait, le tablier métallique du viaduc, dont la dernière réfection intégrale du système de protection anticorrosion remonte aux années 1981-82, est abandonné à son triste sort et se dégrade de plus en plus sans que son actuel propriétaire (SNCF Réseau) s’en émeuve outre mesure… L’état actuel de l’ouvrage d’art, défiguré par la rouille, a indéniablement un impact négatif sur la fréquentation touristique des lieux et constitue un préjudice pour l’attractivité du Pays des Combrailles. Pourtant, sa valeur patrimoniale et son intérêt architectural ont été officiellement reconnus : déjà inscrit sur l’inventaire supplémentaire des Monuments historiques le 28 décembre 1984, il bénéficie depuis 2012 du label « Patrimoine du XXe siècle ».   

Si on laisse quelques années encore se dégrader le tablier du viaduc, sa démolition deviendra inéluctable, entraînant fatalement des dépenses substantielles nettement plus lourdes pour le budget public (environ 10 millions d’euros) que celles de sa remise en état (estimée à 3 millions d’euros par Réseau Ferré de France [RFF] en 2007 ; probablement le double de cette somme actuellement). Toutefois, en 2019, le viaduc a bénéficié d’une enveloppe de 500 000 € à la suite du tirage du super loto du Patrimoine ; un soutien financier somme toute dérisoire vu les besoins actuels…